Table des Contenus
- Léa Schmidt : « Mettre l’humain au centre »
- Une rentrée 2025 sous le signe de l’humain
- Un chemin progressif vers le numérique
- Une nouvelle étape : l’envie de changement
- Prendre du recul, un déclic pour entreprendre
- Le rôle clé des formateurs et formatrices
- Un souvenir symbolique avec ses étudiants
- Numérique et avenir : où est la place de l’humain ?
- Un conseil à ceux qui veulent se lancer
- Garder son équilibre
Léa Schmidt : « Mettre l’humain au centre »
Portrait d’une directrice engagée dans le numérique et la pédagogie à Grenoble
Une rentrée 2025 sous le signe de l’humain
Aujourd’hui, j’ai eu le plaisir d’interviewer Léa Schmidt, directrice de My Digital School à Grenoble, une école membre d’un réseau national de 18 établissements en France. Alors qu’elle prépare déjà la cinquième rentrée de l’école, prévue en 2025, Léa Schmidt aborde cette étape avec sérénité.
Pour elle, pas de stress, mais une réelle prise de responsabilités, car derrière chaque rentrée, il y a avant tout de l’humain.
Avec plus de 150 étudiants, 70 formateurs et intervenants, ainsi que de nombreuses parties prenantes (entreprises partenaires…), la gestion d’un tel écosystème demande une vision humaine et bienveillante.
Un chemin progressif vers le numérique
Une nouvelle étape : l’envie de changement
Prendre du recul, un déclic pour entreprendre
Quelques années plus tard, elle rejoint Human Matters en tant que cheffe de projet digital. Une expérience axée sur la formation pédagogique, en présence de grands groupes, renforçant son expertise en gestion de projets digitaux.
Mais après plusieurs années en prestation de services, un déclic s’impose. Le rythme
ne lui convenant plus, elle ressent le besoin de changement, de prendre du recul. C’est à ce moment-là qu’elle choisit de se réorienter, pour intégrer IPAC et évoluer au sein de l’école My Digital School.
de My Digital School. Parce qu’il est tout de même essentiel de savoir s’écouter quand c’est nécessaire.
Le rôle clé des formateurs et formatrices
Un souvenir symbolique avec ses étudiants
Une anecdote marquante illustre ses propos : en 2021 à l’ouverture de la première promotion, une étudiante engagée et pétillante était au sein de l’école My Digital School et a fait 3 ans dans cette école. à été engagée au seins du groupe IPAC, pour le campus de Grenoble, dans un poste qui se libérait.
Une belle illustration de la continuité naturelle entre apprentissage et insertion professionnelle. Le monde est petit, les formateurs ou étudiants vont être amenés à se croiser un jour.
Numérique et avenir : où est la place de l’humain ?
Un conseil à ceux qui veulent se lancer
Et à toutes ces personnes qui souhaitent se lancer dans le numérique, voici son conseil : « Il ne faut pas se stresser sur l’orientation. Il y a plein de vies dans une vie. Ce qui compte, c’est d’écouter ce qui nous fait vibrer, s’intéresser aux gens, et croire en ses rêves. Parce que quand on aime ce qu’on fait… On évolue. ».
Justement, cette évolution, que l’on pourrait apparenter à un « Pokémon » est ce qui est beau à voir chez les élèves, lorsqu’ils trouvent enfin leur voie et ce qui les transcende.
Garder son équilibre
Enfin, pour maintenir son équilibre, Léa Schmidt privilégie la nature : « Je n’ai pas d’outil spécifique». Au contraire, elle les abandonne pour mieux se privilégier. La montagne, les balades et se déconnecter sont les clés.
Elle résume son approche du métier en une phrase : « Mettre l’humain au centre. » Que ce soit dans la gestion de l’école, les relations professionnelles ou la vision du numérique.
Voici ce qu’incarne Léa Schmidt !
Autrice – AUDIN Matisse